Fusaea longifolia est une espèce de petit arbre appartenant à la famille des Annonaceae. Il s'agit de l'espèce type du genre Fusaea Saff.. Elle est connue en Guyane sous les noms de Malmanmanyaret, Mâle mamanyaret, Mamayawé, Maman-yawé (créole)[4], Aza odou (Saramaka), Kãwĩala, Yãwĩyiki, Yanw'kala, Yanwicara (Wayãpi), Maichi (Paramaka), ou anciennement Pinaioua (Galibi cf. Aublet 1775)[5].

Fusaea longifolia
Description de cette image, également commentée ci-après
échantillon type de Annona longifolia collecté par Aublet en Guyane vers 1761
Classification Tropicos
Règne Plantae
Classe Equisetopsida
Sous-classe Magnoliidae
Super-ordre Magnolianae
Ordre Magnoliales
Famille Annonaceae
Genre Fusaea

Espèce

Fusaea longifolia
(Aubl.) Saff., 1914[1]

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Synonymes

Selon GBIF (19 février 2023)[2] :

  • Aberemoa longifolia (Aubl.) Baill.
  • Annona longifolia Aubl. - Basionyme
  • Annona rhombipetala Ruiz & Pav. ex G.Don
  • Duguetia longifolia (Aubl.) Baill.
  • Fusaea decurrens R.E.Fr.
  • Fusaea rhombipetala (Ruiz & Pav. ex G.Don) J.F.Macbr.
  • Uvaria spectabilis DC.
  • Uvaria spectabilis DC. ex Dunn

Selon Tropicos (19 février 2023)[3] :

  • Aberemoa longifolia (Aubl.) Baill.
  • Annona longifolia Aubl. - Basionyme
  • Annona rhombipetala Ruiz & Pav. ex G. Don
  • Duguetia longifolia (Aubl.) Baill.
  • Fusaea decurrens R.E. Fr.
  • Fusaea rhombipetala (Ruiz & Pav. ex G. Don) J.F. Macbr.
  • Uvaria spectabilis DC.

Ailleurs, on l'appelle Majagua de tierra firme[6], Majagua au Venezuela, Anón de monte, Cargadero amargo, Chirimoyo, Nagu'i cuerinegro, Yaya en Colombie, Bergipanta, Boszuurzak, Jari-jari, Langbladige jari-jari, Panta (Sranan tongo), Peperhout au Suriname, Nanguehue, Moncapatahue (Waorani) en Équateur, Anona masha, Bara caspi, Chirimuya, Espintana, Tortuga caspi, Yeis (Huambisa) au Pérou, Araticum, Ata, Biribá envira, Envira ata, Envira-menjuba, Envireira, Espintana, Karãtúã'y, Latoure (Mucajaí-Uaicá), Pináyw-hu [= arbre à hameçons] au Brésil[5].


Description modifier

Fusaea longifolia est une arbre atteignant (4)6-12 m, pour 8-15 cm de diamètre. Les jeunes rameaux sont densément recouverts de poils bruns, apprimés (ferrugineux-puberulents). L'écorce est noire, faiblement mais visiblement fissurée.

Les feuilles mesurent de 12-30 x (3)4-10 cm, pour un pétiole de 2-4(5) x 1-2 mm. Elles sont très glanduleuses, glabres au-dessus, couverts de poils épars appliqués en dessous, de forme étroitement elliptiques-oblongues ou oblancéolées, à base aiguë ou arrondie, longuement acuminées. Les nervures sont imprimées au dessus, avec (12)15-18 paires secondaires unies près de la marge.

L'inflorescence est ramiflore, comporte 1-2 fleurs, avec des pédicelles de 15-30 x 2-5 mm. Les sépales mesurent 10-16 mm, et sont de forme ovale, unis à leur base, caducs à l'exception de la partie basale conique, la partie basale ayant un contour circulaire d'un diamètre de 10-15 mm.

Les pétales, de forme ovale-oblongue obtuse, séricés-roussâtres, densément sericulés abaxialement, de couleur verte à blanche, devenant brun-jaunâtre, mesurent environ 3 × 2 cm à l'anthèse : de 3-4 cm pour ceux extérieurs, et 4-5 cm pour les intérieurs. Les étamines sont longues de 3 mm, et les staminodes de 4-6(8) mm.

Les fruits charnus sont globuleux, verts, glabres, lisses ou aréolés, et mesurent environ (5)6-10 cm de diamètre[6],[7],[4].

Répartition modifier

On rencontre Fusaea longifolia en Amazonie colombienne, au Venezuela (Bolívar : près de Santa María de Erebato, Amazonas : bassin du Río Guayapo), au Guyana, au Suriname, en Guyane (ex: Réserve naturelle régionale Trésor[8]), en Équateur, au Pérou, au Brésil, en Bolivie[6].

Écologie modifier

Fusaea longifolia croît dans les forêts de pente, autour de 100-400 m d'altitude au Venezuela[6]. Il fleurit en Guyane en janvier, février, avril, juillet, août, septembre, et fructifie en mars et mai[4].

Le bois contient de petits cristaux rhombiques dans ses cellules rayonnantes[5].

Ses grains de pollen sont organisés en tétrades[9],[10].

Les pollinisateurs de Fusaea longifolia ont été étudiés[11].

Usages modifier

Les fruits sont comestibles[6],[12].

L'écorce est utilisée pour fabriquer des sangles pour les porteurs en Colombie[5].

En Guyane, le bois sert à fabriquer des "takaris" (perches pour guider les pirogues)[5].

Au Brésil, l'écorce fournit un remède contre la diarrhée (chez les Ka'apor[13]), et le bois sert pour le chauffage et la construction[5].

Chimie modifier

L'huile essentielle des parties aériennes de Fusaea longifolia contient 21 constituants, et l'on a testé ses propriétés trypanocides et antibactériennes[14].

La tige contient des alcaloïdes[15] et des constituants volatils tels la O-méthylmoschatoline, la stepholidine, et des sesquiterpénoïdes (12,5% de a-cadinol et 12,0% de spatulenol)[16].

Les propriétés Antileishmaniennes[17] et antivirales contre l'Herpes simplex vírus de type 1[18] de ses alcaloïdes ont été étudiées.

Les extraits éthanoliques et méthanoliques de Fusaea longifolia présentent des activités antioxydantes et antibactériennes[19].

Protologue et histoire naturelle modifier

En 1775, le botaniste Aublet décrit cette plante pour la première fois et propose la diagnose suivante pour Annona longifolia[20] :

 
Fusaea longifolia par Aublet (1775)[20]
Explication de la Planche deux cent quarante-huitième : 1. Fleur épanouie. - 2. Baie. - 3. Graine.[21]

« 3. ANNONA (longifolia) fructu rubro, punctato & reticulato. (Tabula 248.)

Frutex trunco ramoſo, quindecim-pedali ; ramis hinc & indè ſparſis. Folia alterna, glabra, anguſta, ovato-oblonga, acuta, integerrima, brevi petiolata. Flores ſolitarii, axillares, longè pedunculati. Corolla ampla, petalis purpuraſcentibus. Fructus ; bacca carnoſa, ovata, ſubrotunda, punctata, reticulata, incarnata, gelatinoſa, edulis.
Florebat, fructumque ferebat Maio.
Habitat ad ripam amnis Galibienſis.
Nomen Caribæum PINAIOUA.

LE COROSSOL Pinaioua.

Cet arbre reſſemble au précédent ; mais ſes feuilles ſont plus étroites & preſque ſans pédicule.
Les fleurs ſont plus grandes. Le calice & les pétales ſont rougeâtres. Les crois pétales intérieurs ſont un peu allongés, étroits, charnus, & couvrent en partie les étamines.
Le fruit eſt preſque rond, gros comme une pomme de reinette, extérieurement pointillé, & gerſé en différents endroits ; ſa peau eſt mince, couvre une chair rouge, délicate, viſqueuſe, & contient un grand nombre de graines plus menues.
Cet arbre eſt nommé PINAIOUA par les Garipons & par les Galibis. Ils en mangent le fruit avec délice, & il eſt de très bon goût.
Je l'ai rencontre au bord de la crique des Galibis, dans le mois de Mai. »

— Fusée-Aublet, 1775.


En 1880, Sagot rapportait ceci sur Annona longifolia[22] :

« A. longifolia Aubl., t. MS.An. sphærocarpa Splitg. ex descr. Fusæa Bail.

Species insignis, flore ab aliis Anonis satis diversa, sed fructu carnoso polycarpo, ad Anonas arcte açcedens. Caulis subsarmentosus. Calix magnus aliquando usque ad basim trifidus, aliquando apice brevissime aperto tridentatus et in anthesi irregulariter ruptus. Petala magna, sericeo-pilosa, margine imbricata, ovato-spathulata, interiora paulo majora. Stamina exteriora sterilia, in appendices pelaloideos parvos conversa. Fructus globosus, laevis, areolatus, virens, magnitudine aurantii. Caro ex Aublet et Mélinon rubens, gustui grata, edulis. Semina parva.

Crescit in sylvis satis frequens, sed raro potest collegi ; vidi fructum ultra manus facultatem.
 »

— Paul Antoine Sagot, 1880.

[ Une espèce remarquable, assez différente par la fleur des autres Anona, mais avec un fruit polycarpique charnu, se rapprochant de près des Anona. Sous-ramification de la tige. Calice grand parfois trifide à la base, parfois tridenté à l'apex très courtement ouvert et irrégulièrement brisé à l'anthèse. Pétales grands, à poils soyeux, bords chevauchants, ovales-spathulés, intérieur un peu plus grand. Étamines externes stériles, transformées en petits appendices péloïdes. Le fruit est globuleux, lisse, aplati, vert, de la taille d'une orange. Selon Aublet et Mélinon, la chair est rouge, de goût agréable, comestible. Petites graines.
Il pousse assez fréquemment dans la forêt, mais peut rarement être récolté ; J'ai vu des fruits au-delà de la capacité de ma main. ]


En 1914, à l'occasion de la recombinaison du taxon, le botaniste William Edwin Safford propose la description suivante pour Fusaea longifolia[1] :

 
Fusaea longifolia par Safford (11914)[1]
Fig. 73. — Flower of Fusaea longifolia. Showing petaloid outer stamens. Reproduced from Baillon
Fig. 74. — Concrete fruit of Fusaea longifolia. Reproduced from Baillon.
« Fusaea longifolia (Aubl.) Safford.


Annotia longifolia Aubl. Pl. Guian. 1 : 615. pl. 248. 1775.
Duguetia longifolia Baill. Adansonia 8: 327. 1868.
Aheremoa longifolia Baill. Hist. Pl. 1: 205. f. 233-235. 1868

A tree or shrub ; leaves very short-petioled, oblong-lanceolate (25 cm, long and 8 cm, broad), obtuse or shortly tapering at the base, long-acuminate at the. apex, above smooth, with midrib and nerves impressed, below the latter very prominent, sparsely hairy ; flowers extra-axillary, long-peduncled, solitary or in pairs; peduncles bearing one or two bracteoles; calyx gamosepalous, deeply 3-lobed, the lobes ovate-acute, ferrugineous-hirtellous on the outside; corolla broad, widely spreading; petals 6, in 2 rows, purplish, imbricate, sericeous-piiose, ovate-spathulate or oblong with the apices obtusely cuneate, the inner somewhat longer and narrower than the outer; stamens numerous, the outer sterile, petaloid, imbricated, the inner perfect, with the tips of the connectives expanded above the pollen sacs as in the typical Annonas: fruit about the size of an orange, globose, smooth, areolate but without protuberances; seeds small surrounded by a red edible pleasantly flavored pulp. (Figures 73, 74.).
Type collected by Aublet on the banks of the Crique des Galibis, French Guiana, in the month of May.
Distribution: Rather frequent in the forests of French Guiana, but difficult to collect (Sagot).

« This tree, » says Aublet, « is called Pinaioua by the Garipons and the Galibis [Caribs], They eat the fruit with delight, and it is of very good flavor. »
 »

— William Edwin Safford, 1914.

[ Arbre ou arbuste ; feuilles très peu pétiolées, oblongues-lancéolées (25 cm de long et 8 cm de large), obtuses ou peu effilées à la base, longuement acuminées au sommet. sommet, dessus lisse, avec la nervure médiane et les nerfs imprimés, dessous ces derniers très proéminents, peu poilus ; fleurs extra-axillaires, longuement pédonculées, solitaires ou par paires ; pédoncules portant un ou deux bractéoles ; calice gamosépalé, profondément trilobé, les lobes ovés-acutés, ferrugineux-hirteux à l'extérieur ; corolle large, largement étalée ; 6 pétales, sur 2 rangs, violacés, imbriqués, séreux-pirosés, ovés-spathulés ou oblongs avec les sommets obtusément cunéiformes, les internes un peu plus longs et étroits que les externes ; nombreuses étamines, les externes stériles, pétaloïdes, imbriquées, les internes parfaites, avec les extrémités des connecteurs élargies au-dessus des sacs polliniques comme chez les Annonas typiques : Le fruit est de la taille d'une orange, globuleux, lisse, aréolé mais sans protubérances ; les graines sont petites et entourées d'une pulpe rouge comestible et agréablement parfumée. (Figures 73, 74.).
Type recueilli par Aublet sur les bords de la Crique des Galibis, Guyane française, au mois de mai.
Distribution : Assez fréquent dans les forêts de Guyane française, mais difficile à collecter (Sagot).
« Cet arbre », dit Aulbet « est nommé PINAIOUA par les Garipons & par les Galibis [Caribes]. Ils en mangent le fruit avec délice, et il est de très bon goût. » ]

Notes et références modifier

  1. a b et c (en) William Edwin Safford, « CLASSIFICATION OF THE GENUS ANNONA, WITH DESCRIPTIONS OF NEW AND IMPERFECTLY KNOWN SPECIES », Contributions from the United States National Herbarium, vol. 18,‎ , p. 65-66 (lire en ligne)
  2. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 19 février 2023
  3. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 19 février 2023
  4. a b et c (en) Scott A. Mori, Georges Cremers et Carol Gracie, Guide to the Vascular Plants of Central French Guiana : Part 2. Dicotyledons, vol. 76, New York Botanical Garden Pr Dept, coll. « Memoirs of the New York Botanical Garden », , 776 p. (ISBN 978-0-89327-445-0), p. 60
  5. a b c d e et f (en) Lars W. Chatrou et Ping He, « Studies in Annonaceae XXXIII. A revision of Fusaea (Baill.) Saff. », Brittonia, vol. 51,‎ , p. 181–203 (DOI 10.2307/2666627)
  6. a b c d et e (en) Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 2, Pteridophytes, Spermatophytes, Acanthaceae–Araceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 706 p. (ISBN 9780915279746), p. 333
  7. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome I - Ptéridophytes à Droséracées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 701 p., p. 614
  8. (en) Hans ter Steege, Daniel Sabatier, Jean François Molino, Olaf Bánki, Marie-Françoise Prévost et Raphaël Pelissier, « Report of the establishment of a permanent one-hectare plot in Réserve Naturelle Volontaire Trésor », NHN-Utrecht Branch, Utrecht University / IRD-AMAP, Cayenne / Montpellier,‎ , p. 21 (lire en ligne)
  9. (en) GREGORY P. COPENHAVER, « A COMPENDIUM OF PLANT SPECIES PRODUCING POLLEN TETRADS », Journal of the North Carolina Academy of Science, vol. 121, no 1,‎ , p. 17-35 (lire en ligne)
  10. (en) Annick Le Thomas, Bernard Lugardon et James A. Doyle, « Pollen ultrastructure and relationships of Fusaea (Baillon) Safford and Duguetia A. Saint-Hilaire (Annonaceae) », Review of Palaeobotany and Palynology, vol. 83, nos 1–3,‎ , p. 55-64 (DOI 10.1016/0034-6667(94)90057-4)
  11. (en) Fabricia Sousa Paz, Carlos Eduardo Pinto, Rafael Melo de Brito, Vera Lucia Imperatriz-Fonseca et Tereza Cristina Giannini, « Edible Fruit Plant Species in the Amazon Forest Rely Mostly on Bees and Beetles as Pollinators », Journal of Economic Entomology, vol. 114, no 2,‎ , p. 710–722 (DOI 10.1093/jee/toaa284)
  12. (en) Fernando Varon Lopez et Nancy Valderrama Sepulveda, « ESTUDIO ETNOBOTANICO Y DEl POTENCIAL DE usa DE LA FAMILIA ANNONACEAE EN LA AMAZONiA COLOMBIANA CON ENFASIS EN LA REGION DE ARARACUARA Y EL MUNICIPIO DE LETICIA », Acta Biologica Colombiana, vol. 5, no 1,‎ , p. 91-92 (file:///home/asus/T%C3%A9l%C3%A9chargements/26739-93612-1-PB.pdf)
  13. (en) G. T. PRANCE, W. BALÉE, B. M. BOOM et R. L. CARNEIRO, « Quantitative Ethnobotany and the Case for Conservation in Ammonia* », Conservation Biology, vol. 1, no 4,‎ , p. 296-310 (DOI 10.1111/j.1523-1739.1987.tb00050.x)
  14. (en) Marcia Bay, João Vitor Souza de Oliveira, Policarpo Ademar Sales Junior, Silvane Maria Fonseca Murta, Anderson Rogério dos Santos, Ivanildes dos Santos Bastos, Patrícia Puccinelli Orlandi et Paulo Teixeira de Sousa Junior, « In Vitro Trypanocidal and Antibacterial Activities of Essential Oils from Four Species of the Family Annonaceae », Chemistry & Biodiversity, vol. 16, no 11,‎ , e1900359 (DOI 10.1002/cbdv.201900359)
  15. (en) Josean Fechine Tavares, Isis Fernandes Gomes, José Maria Barbosa Filho, Marcelo Sobral da Silva, José Guilherme S. Maia et Emídio Vasconcelos L. da Cunha, « Alcalóides e Constituintes Voláteis de Fusaea longifolia », Sociedade Brasileira de Química (SBQ), vol. 28a Reunião Anual da Sociedade Brasileira de Química,‎ 200? (lire en ligne)
  16. (en) J.F. Tavares, J.M. Barbosa-Filho, M.S. da Silva, J.G.S. Maia et E.V.L. da-Cunha, « Alkaloids and volatile constituents from the stem of Fusaea longifolia (Aubl.) Saff. (Annonaceae) », Rev. bras. farmacogn., vol. 15, no 2,‎ (DOI 10.1590/S0102-695X2005000200008)
  17. (en) Vitor P. Lorenzo, Luciana Scotti, Jackson R. G. da Silva Almeida et Marcus Tullius Scotti, « Annonaceae Family Alkaloids as Agents Against Leishmaniasis: A Review and Molecular Docking Evaluation », Current Drug Metabolism, vol. 21, no 7,‎ , p. 482-492 (DOI 10.2174/1389200221666200702124046)
  18. (pt) Rafael Laurindo Morales, Cristiangela Santos, Dênia Mendes de Sousa Valladão, Elton Brito Ribeiro, Stela Regina Ferrarini, Anderson Barzotto, Rogério de Campos Bicudo et Carla Regina Andrighetti, « Avaliação in vitro da atividade antiviral de extratos de diferentes espécies de Annonaceae contra o Herpes simplex vírus tipo 1 », X Mostra da Pós-Graduação: Direitos Humanos, trabalho coletivo e redes de pesquisa na Pós Graduação.,‎ (ISSN 2359-4985)
  19. (pt) Márcia Bay, Anderson Rogerio dos Santos, Fernanda Bay Hurtado, Ivanildes dos Santos Bastos, Patrícia Puccinelli Orlandi et Paulo Teixeira de Sousa Jr., « ATIVIDADES ANTIOXIDANTE E ANTIBACTERIANA in vitro DE EXTRATOS VEGETAIS DA FAMÍLIA ANNONACEAE », South American Journal of Basic Education, Technical and Technological, vol. 7, no 2,‎ (lire en ligne)
  20. a et b Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, , 615-616 p. (lire en ligne)
  21. (en) Richard A. Howard, « THE PLATES OF AUBLET'S HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE », Journal of the Arnold Arboretum, vol. 64, no 2,‎ , p. 255-292 (lire en ligne)
  22. (la) Paul Antoine Sagot, « CATALOGUE DES PLANTES PHANÉROGAMES ET CRYPTOGAMES VASCULAIRES DE LA GUYANE FRANÇAISE : Tome 11 - ANONACEAE », Ann. Sci. Nat., Bot., sér. 6,‎ , p. 134-180 (lire en ligne)

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

  • « Fusaea longifolia », sur la chaussette rouge, (consulté le )